mercredi 15 août 2012

Quand on est dans les patates, on est dans les patates!

En réponse à notre message intitulé :
« Attention un hold-up est annoncé visant nos caisses de retraite »,
il semble régner chez certains une confusion quant à ce qu'est la Caisse de Dépôt et Placement du Québec (CDPQ), à preuve le courriel reçu de Monsieur Jacques D.

« Ce que vous ne semblez pas comprendre, c'est que ces argents des retraités à la CDPQ doivent être investis pour augmenter dans le futur et payer les rentes promises. Le secteur minier est une partie important de notre économie et rapporte au Québec. Au lieu de parler de détournement, vous devriez parler d'investissements et d'investissements dans des projets rentables , et ceci avec la prudence du bon père de famille. Il faut s'assurer aussi que nous obtenons une propriété majoritaire de ces projets. Tous les détenteurs de fonds du Québec se doivent de participer au développement de l'économie du Québec, la CDPQ y compris. Le domaine minier du Québec est sûrement plus rentable que des projets ou placements étrangers dans lesquels nous, les retraités, avons perdus des milliards de dollars. Souvenons- nous de la CDPQ et l'administration Rousseau! »

En réponse à ce courriel


Vous déclarez sans embâcles que :

« Tous les détenteurs de fonds du Québec se doivent de participer au développement de l'économie du Québec, la CDPQ y compris. »


Que diriez-vous si demain matin je vous disais que vos REER à compter de maintenant sont un bien collectif (de l'État) et que désormais ils seront déposés à la CDPQ?


Sans doute me diriez-vous, mes REER c'est mon argent!


Voilà la bonne réponse c'est votre argent, ce sont vos économies, celles que vous avez mises en réserve en prévision de votre retraite. Vous les placer et les faites fructifier, selon vos objectifs à long terme de retraite.


« Ces argents des retraités à la CDPQ » comme vous l'écrivez, ce n'est donc pas votre argent; donc à partir de quel principe devraient-ils être traités autrement que vos REER?


À partir de quelle pensée magique « Ces argents…» deviennent-ils un bien collectif.     Vous voyez il est facile de prendre l'argent des autres et de dire ce qu'on doit faire avec. Ce n'est pas mon argent, pas de problème.  
     
« Ces argents des retraités…» ce sont nos cotisations salariales, (ce sont nos REER) prisent de paye en paye qui ont été déposées à la CDPQ. (Notons ici que seule la part de l'employé est déposé à la CDPQ).    

Ce que vous ne semblez pas comprendre c'est qu'il y a une énorme différence entre la CDPQ et Investissement Québec.
  • La première (CDPQ ) a comme mandat de produire un meilleur rendement pour les retraites des retraités, pas n'importe laquelle, mais celle des retraités déposants.
  • L'autre (Investissement Québec) a été spécifiquement créé, à partir de nos taxes et impôts, pour participer au développement de l'économie du Québec.
Voilà l'énorme différence!   Au fait monsieur D., combien avez-vous d'argent de placé dans « Le domaine minier du Québec », ce domaine que vous qualifiez de sûrement plus rentable?




mardi 14 août 2012

Dormez-vous au gaz ou regardez-vous passer le train?

[1]

Retraités sommes-nous en train de nous faire avoir?

Dans un article du journal la Presse, ayant pour titre : « Combien la Caisse de dépôt doit-elle investir au Québec?»[2] le journaliste Vincent Brousseau-Pouliot brossait un portrait des positions des partis politiques sur l’avenir de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDP)[3] .

Le Parti québécois(PQ), Québec solidaire(QS) et la Coalition Avenir Québec(CAQ) préconisent une intervention dirigée afin que la CDP investisse davantage au Québec. Par contre le Parti libéral du Québec (PLQ) préconise la non-ingérence dans les activités de placement de la Caisse. C’est ainsi, qu’au nom de ce parti, Raymond Bachand, ministre des Finances s’exprime:

«La Caisse, c'est l'argent des retraités, des cotisants, pas un instrument des décisions politiques du gouvernement. Nous avons déjà un instrument comme ça: Investissement Québec. Si le gouvernement veut prendre un risque, nous allons le faire avec notre argent. C'est trop facile de le faire avec l'argent des retraités, car tu n'en subis pas les conséquences.»

Au-delà des partis politiques, comme retraités, nous devons absolument faire comprendre aux différents candidats que la Caisse de dépôt et placement n’est pas Investissement Québec.

Le mandat premier de la CDP est d’obtenir le rendement optimal sur les dépôts reçus et non d’investir impérativement au Québec. Les caisses de retraite notamment, sont gérées avec des objectifs de placement à long terme en raison de la pérennité des régimes de retraite. Les mandats de la CDP lui viennent des déposants. La CDP ne devrait investir au Québec que si elle croit que le potentiel de rendement est bon.

Est-il bon de rappeler ici aux candidats que le gouvernement n’a jamais versé sa part dans les caisses de retraite à la CDP?[4]. Par voie de conséquence les fonds de retraite, lesquels constituent plus de 95 % des 159 milliards de dollars d’actif (159 G$)[5] appartiennent aux retraités actuels et futurs. Ce sont les cotisations salariales et le salaire différé[6] qui constituent le fonds de retraite des employés de l’État.

Affirmer que tous les participants aux différents fonds ont donné leur assentiment au fait que leur argent est un bien de l’État, comme semblent l’affirmer certains candidats dans cette campagne électorale, il y a là un OS, me semble-t-il ? On ne peut souscrire à une telle thèse. Les déposants qui ont confié leurs avoirs à la CDP sont les propriétaires de ces avoirs. L’État, quel qu’il soit, ne peut s’arroger le droit d’utiliser ces fonds à d’autres fins auxquels ils sont destinés. Il ne peut à plus forte raison se les approprier.

La CDP ne peut devenir une bébelle politique. Il ne peut y avoir là d’ingérence politique. Ses dirigeants ne devraient donc pas se plier aux caprices et attentes électoralistes de certains politiciens, dont la vision n’est souvent dictée que par l’échéance électorale.

La CAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC deviendra-t-elle la «BÉBELLE» des politiciens ?[7]


Le silence des grandes associations de retraités et des centrales syndicales sur ce sujet est étonnant.

Que font les :

Pierre-Paul Côté, président de l’Association des retraitées et retraités de l’éducation et des autres services publics du Québec. (AREQ, [CSQ]).

Lyne Parent, présidente de l’Association des retraités des secteurs public et parapublic. (AQRP)

• Michel Arsenault, président de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ)

• Louis Roy, président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN)

• Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ).

  • Dormez-vous au gaz ou regardez-vous passer le train?
  • Une douche d’eau glacée réussirait-elle à vous réveiller?
  • Nous sommes en droit de nous le demander…!
L’argent de la CDP appartient aux retraités et futurs retraités, ce sont nos cotisations, notre argent.




Retraités et futurs retraités, réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard!




Sinon une fois de plus vous pourrez sans doute vous dire NOUS NOUS SOMMES FAIT AVOIR, comme en 2008 avec la perte mystérieuse de 40 G$ résultant notamment d’achat de papiers commerciaux pour lesquels il n'y a jamais eu d'enquête ni de vérification gouvernementale approfondie.

 
Notes explicatives:
  1. La photo-montage a été réalisée à partir de photos prises sur Internet.
  2. La Presse 11 août 2012
  3. http://www.lapresse.ca/actualites/elections-quebec-2012/201208/10/01-4564165-combien-la-caisse-de-depot-doit-elle-investir-au-quebec.php
  4. Sauf dans le fonds du régime de retraite des membres de la Sûreté du Québec et celui du RRPE
  5. 159G$ : Actif de la CDP au 31 décembre 2011
  6. Part du gouvernement non versée à la CDP
  7. http://gamorneau.blogspot.ca/2011/12/la-caisse-de-depot-et-placement-du.html 2 décembre 2011

jeudi 28 juin 2012

Les retraités et futurs retraités de l’État ont deux raisons de se réjouïr


  • La première raison est le départ de Réjean Parent à la tête de la CSQ. Ce président n’a pas su et surtout n’a pas eu la volonté, durant son mandat, de protéger le maintien du pouvoir d’achat des retraités actuels et surtout des futurs retraités, laissant ainsi en plan ses propres membres. Pour lui (et sa centrale syndicale) une désindexation (IPC-3%) des rentes de retraite de 1982 à 1999, et une demi-indexation à compter de l’an 2000, sont les seuls acquis (si acquis il y a) qu’il a su défendre. En d’autres mots il a obtenu que les retraités actuels et futurs retraités des secteurs publics et parapublic continuent de s’appauvrir. Il laisse donc en héritage des retraités plus pauvres et des futurs retraitésqui ne cesseront de s’appauvrir. Comme bilan on a déjà vu mieux;
  • La seconde raison de se réjouïr est le retrait de Syvain Simard de la vie politique. Ce député a tout au long de sa carrière politique a toujours dit défendre les retraités de l’État. Il l'a fait à l'occasion du bout des lèvres, et sans conviction. Pour ce dernier nous étions des gras dûrs. À chaque rencontre avec ce député nous sentions un désintéressement total à la cause des retraités.

Espérons toutefois que la CSQ et le PQ désigneront des personnes qui auront à cœur la défense des intérêts des retraités.

C’est définitivement un grand jour pour les retraités.


samedi 25 février 2012

François Legault aurait avantage à regarder dans la cour du MEQ

Lucien Francoeur, professeur de littérature au Collège de Rosemont depuis 1981 dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.
BRAVO MONSIEUR FRANCOEUR!
Je crois que François Legault aurait avantage à s’inspirer de cet interview pour réformer le système d’éducation.
Une entrevue de Sophie Durocher (Journal de Montréal)

samedi 14 janvier 2012

ÊTRE RETRAITÉ ET N’AVOIR PAS RETRAITÉ

 Qu'on se le dise
Aline Couillard, 1ère vice-présidente de l'ADR
Aline Couillard
Le jour où nous avons pris notre retraite, nous sommes demeurés actifs.
Le bénévolat, nous le vivons intensément. Le gardiennage, c'est notre lot. Nous partageons notre savoir avec les travailleurs moins expérimentés. Nous prenons soin de nos petits enfants et de nos parents âgés.
Nous payons nos taxes sur les biens et services ainsi que nos impôts.

Qu'y a-t-il à comprendre?

Nous ne sommes pas en demande de faveur sur le plan de nos régimes de retraite. Nous sommes propriétaires des fonds au même titre que les travailleurs à l'emploi. Je le redis : «Au même titre».
Cette réalité est connue des politiciens qui sont nos représentants à l'Assemblée nationale. Nous les avons interpellés maintes fois.

Les dirigeants syndicaux connaissent très bien le fonctionnement des régimes de retraite. Ils savent que les actifs paient présentement pour leur rente future.

Pourtant aucun de ceux-là ne se lève pour corriger le discours lorsqu'ils entendent le commun des mortels affirmer que les retraités sont à la solde des employés au travail. Lire des articles qui faussent le débat dans le même sens les laisse indifférents.

Où sont les valeurs?
Est-il encore vrai que la liberté de l'un s'arrête là où commence celle de l'autre? Les dirigeants syndicaux défendent les droits de leurs membres : les actifs. Soit! En matière de régimes de retraite toutefois, ils ont parfois une vision à très court terme. Lorsqu'ils grugent à belles dents le gâteau des fonds de retraite sans qu'il soit réparti entre ceux qui ont acheté les ingrédients requis pour sa confection et pris part à la sa cuisson, ils empiètent sur le bien d'autrui.

Lorsque les élus du peuple québécois laissent courir la rumeur voulant que ce soient les actifs qui paient pour les retraités, ils deviennent eux aussi complices de l'ignorance et de la désinformation.

Notre place
Retraités, il est urgent que nous prenions notre place, car elle ne nous sera pas laissée gratuitement. Forts de la pensée que :

  • nous avons cédé notre place à l'emploi;
  • nous avons coiffé le bonnet de bénévole;
  • nous sommes impliqués socialement;
  • nous avons laissé un héritage de structures organisées;
  • nous subissons un égrènement de notre fonds de retraite;
nous réclamons sans relâche cette mesure équitable : LA PLEINE INDEXATION de nos rentes de retraite.

Un pouvoir est entre nos mains, celui de voter pour celui ou celle qui aura le courage de reconnaître la légitimité de notre demande. À bon entendeur, salut!

Aline Couillard

Vice-présidente de l'Association démocratique des retraités

dimanche 8 janvier 2012

L’Islam modéré n’existe pas

«Les attentats du 11 septembre 2001 ont été revendiqués par ceux qui représentent l'extrême droite violente politico-religieuse de l'islam, plusieurs pensent que l'islam politique modéré ne se distingue des terroristes que par les moyens employés, non par les objectifs. Là où les premiers ont recours à la violence ouverte et cherchent à éliminer l'autre physiquement, les seconds cherchent à arriver au pouvoir par des moyens légaux. Toutefois, estiment les Occidentaux, une fois au pouvoir, ils élimineraient tous ceux qui s'opposent au règne» de leur «Dieu sur terre»1.
Voyons ce qu'en pensent quelques personnalités nées au sein de familles musulmanes :

Necla Kelek
Necla Kelek
«L'islam ne connaît aucune individualité, sa vision de l'humanité n'est pas adaptée à la modernité.»

«La charia ne repose sur aucun des principes légaux issus des Lumières. Sans rejet de la charia et du principe de
vengeance, tous les efforts pour intégrer les musulmans sont condamnés d'avance.

Necla KelekI est une sociologue allemande d'origine turque, née à Istanbul en 1957. Elle devient spécialiste des questions de mariage forcé et d'importation d'épouses en Allemagne.

Ayaan Hirsi Ali
Ayaan Hirsi Ali
«Il n'y a pas de cohabitation possible entre l'islam et l'Occident».

«Le Prophète a demandé la main d'une petite fille de 6 ans et le mariage a été consommé quand elle a eu 9 ans. C'est ce qu'on appelle un pédophile
«L'Occident a essayé différentes manières de convertir, assimiler et séduire les musulmans vers la modernité. Aucune de ces approches n'a réussi. Pendant ce temps, notre vénération pour la raison fait de nous des proies faciles pour un prédateur sans pitié, malhonnête et extrêmement agressif
Ayaan Hirsi AliII est née en Somalie en 1969, excisée, à l'âge de 5 ans, Ayaan Hirsi Ali est scolarisée dans un lycée musulman pour filles. Soumise à ses parents, à son clan et à sa religion jusqu'à l'âge de vingt-trois ans, elle profite d'un passage dans sa famille en Allemagne, pour s'enfuir et échapper à un mariage forcé. Réfugiée aux Pays-Bas, elle adopte les valeurs libérales occidentales au point de devenir une jeune députée à La Haye et de s'affirmer athée. Pour avoir travaillé dans les services sociaux, elle connaît, de l'intérieur, les horreurs tolérées à l'encontre des femmes au nom du multiculturalisme.

Irshad Manji
Irshad Manji
«L'Occident doit cesser de se laisser endormir par l'idée du multiculturalisme».«Je ne ferai jamais le pèlerinage à La Mecque car on y interdit l'entrée aux juifs et aux chrétiens.»
Née en Ouganda en 1968, au sein d'une famille musulmane, Irshad ManjiIII est une écrivaine et journaliste canadienne.
Son livre «Musulmane, mais libre»2 paru en 2006, explique avec une lucidité étonnante, les fondements et les dérives de l'islam.



Taslima Nasreen
Taslima Nasreen
«Il n'y a rien à garder du Coran»

«L'islam est une torture contre les femmes.»


«Les médias occidentaux et les intellectuels font preuve de lâcheté concernant l'islam et ses dogmes».
Taslima NasreenIV est une écrivaine née en 1962 dans une famille musulmane de Mymensingh, au Bangladesh. Elle a d'abord été gynécologue avant de se consacrer définitivement à l'écriture.


Wafa Sultan
Wafa Sultan
«Je ne crois pas que l'islam puisse être réformé»

«Les musulmans doivent se demander ce qu'ils peuvent faire pour l'humanité, avant d'exiger que l'humanité les respecte»


«Je n'ai aucun espoir en l'islam. Quand une idée est corrompue, on ne peut la réformer.»
Wafa SultanV a grandi en Syrie dans une famille musulmane. Sa vie bascule en 1979: alors étudiante en médecine, elle assiste à l'université à l'assassinat de son professeur par des membres des Frères musulmans.

Nonie Darwish
Nonie Darwish
«De nombreux musulmans ne cherchent qu'une chose, islamiser l'Amérique et l'Occident, coûte que coûte!»

«Je crois que le monde musulman a perdu son équilibre moral»


«Les appels à la prière étaient presque toujours suivis d'appels à détruire les juifs et les infidèles»
«Personne ne cherche les racines mêmes du terrorisme, cette machine de lavage de cerveau nommée: ISLAM. L'islam n'a jamais été mal compris. Car l'islam est en lui-même le problème.»
3
Arabe et musulmane, Nonie DarwishVI est née au Caire. Expatriée aux États-Unis, elle est aujourd'hui journaliste, écrivaine, et fondatrice de ArabsForIsrael.com.

En conclusion : À la lecture de ces témoignages, il est difficile de croire qu'il existe un islam modéré. Nous aurions pu multiplier par centaines les écrits sur l'islam et sur les dangers associés à cette religion, notamment pour les femmes. Nous vivons heureusement dans un pays pacifique, toutefois nous ne sommes pas à l'abri de certaines dérives religieuses.La montée des dernières années de l'islamisme, en Europe, au Canada et au Québec, doit nous inciter à être attentifs envers ce qui nous entoure et à garder l'œil ouvert.


Références:
  1. Extrait du Courrier international : http://www.courrierinternational.com/article/2011/02/24/l-islamisme-modere-n-existe-pas
  2. http://www.evene.fr/livres/livre/irshad-manji-musulmane-mais-libre-19257.php
  3. http://www.youtube.com/watch?v=RFN8ahYN1b0
  1. Necla Kelek :http://fr.wikipedia.org/wiki/Necla_Kelek
  2. Ayaan Hirsi Ali http://fr.wikipedia.org/wiki/Ayaan_Hirsi_Ali
  3. Irshad Manji http://fr.wikipedia.org/wiki/Irshad_Manji
  4. Taslima Nasreen http://fr.wikipedia.org/wiki/Taslima_Nasreen
  5. Wafa Sultan : http://fr.wikipedia.org/wiki/Wafa_Sultan
  6. Nomie Darwish http://fr.wikipedia.org/wiki/Nonie_Darwish

Note:

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