mardi 11 février 2014

Le parlement serait-il l'art de parler et de mentir?


La tenue d'élections à date fixe était l'une des nombreuses promesses du parti québécois lors de la dernière campagne électorale. Le PQ estimait qu'il fallait annuler le pouvoir discrétionnaire d'un premier ministre de déclencher des élections suivant des intérêts partisans. Le PQ a PARLÉ !

Le 7 novembre 2012 le ministre Bernard Drainville a présenté le projet de Loi électorale prévoyant des élections à date fixe. Le ministre a alors PARLÉ !

Le 14 juin 2013 cette loi était adoptée. Les partis politiques ont aussi PARLÉ!

Qu'en est-il aujourd'hui? La première ministre s'apprêterait-t-elle à «fausser grossièrement la vérité [1]» en déclenchant des élections hâtives ?

Note [1]: On ne peut traiter quelqu'un de menteur à l'Assemblée nationale.

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