jeudi 28 juin 2012

Les retraités et futurs retraités de l’État ont deux raisons de se réjouïr


  • La première raison est le départ de Réjean Parent à la tête de la CSQ. Ce président n’a pas su et surtout n’a pas eu la volonté, durant son mandat, de protéger le maintien du pouvoir d’achat des retraités actuels et surtout des futurs retraités, laissant ainsi en plan ses propres membres. Pour lui (et sa centrale syndicale) une désindexation (IPC-3%) des rentes de retraite de 1982 à 1999, et une demi-indexation à compter de l’an 2000, sont les seuls acquis (si acquis il y a) qu’il a su défendre. En d’autres mots il a obtenu que les retraités actuels et futurs retraités des secteurs publics et parapublic continuent de s’appauvrir. Il laisse donc en héritage des retraités plus pauvres et des futurs retraitésqui ne cesseront de s’appauvrir. Comme bilan on a déjà vu mieux;
  • La seconde raison de se réjouïr est le retrait de Syvain Simard de la vie politique. Ce député a tout au long de sa carrière politique a toujours dit défendre les retraités de l’État. Il l'a fait à l'occasion du bout des lèvres, et sans conviction. Pour ce dernier nous étions des gras dûrs. À chaque rencontre avec ce député nous sentions un désintéressement total à la cause des retraités.

Espérons toutefois que la CSQ et le PQ désigneront des personnes qui auront à cœur la défense des intérêts des retraités.

C’est définitivement un grand jour pour les retraités.


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