dimanche 31 janvier 2016

Les oublié(e)s et laissé(e)s-pour-compte du système

Les retraité(e)s du Régime de retraite des employés du gouvernement et des organismes public (RREGOP): des gras dur vraiment ?

  •  La réalité parfois dépasse parfois la fiction.
  •  Une image vaut mille mots.
  •  Incroyable mais vrai.
  •  Le RREGOP = pauvreté assuré
  •  Le RREGOP = perte du pouvoir d'achat garanti
  •  Et la croyance populaire dans tout cela ????
 

1 commentaire:

Gaétan Morneau a dit…

Réaction de Michel Gareau : Je voudrais attirer votre attention sur le sujet : «Les sacrifié(e)s et laissé(e)s-pour-compte du système»

Je crois qu’il ne faudrait pas tomber dans le piège du gouvernement. Si on en croit Mme Couillard , M. Coiteux est un homme de chiffres et ne versera pas une larme pour les gras durs démunis faisant partie d’un régime de retraite considéré généreux. Le seul fait à considérer pour l’ADR est la valeur des cotisations versées alors que le retraité était actif pendant un minimum de 10 ans et un maximum de 35 ans. Notre régime de retraite est présumément un régime d’investissements et non une organisation de Bien être social (BS). L'excédant relève du RRQ auquel tout employé doit cotiser. La rente versée par le RRQ sera proportionnelle à la valeur des cotisations perçues par le RRQ.
Quant à l’ADR notre but ultime est de retrouver les sommes promises pour notre rente de retraite mais confisquées par le gouvernement (Tous partis politiques confondus). Le gestionnaire du fonds ( Le Gouvernement) ayant démontré son incapacité à gérer notre fonds de retraite a la mauvaise habitude de piger dans le fonds comme si c’était son argent de poche. Ce que nous demandons c'est une représentation adéquate proportionnelle aux avoirs des retraités dans leur fonds. De ce fait cela exclut et les syndicats et les représentants du gestionnaire à la CDP et à la CARRA .
Michel J. Gareau
Boucherville

Note:

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